Arwen Marine
 
Accueil Les Nouvelles Nos Bateaux L'Entreprise Le Glossaire
Plan du site Recherche sur le site Nous ecrire
Construction Accompagnée d'une Yole de Chester
avec Annick et Emmanuel, du 12 au 17 août 2013
Journée précédente Retour au sommaire Journée suivante

Jour 5 : vendredi 16 août 2013

Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Je refais une photo du "hérisson" avant de défaire les presses.

 

Et Annick en refait une vue de l'arrière.

 

Emmanuel utilise la scie égoïne pour couper le bout des listons.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Puis nous sortons la petite scie affleurante pour couper les tapons des vis au ras de la surface.

 

Je suis tout esbaudi par Emmanuel traçant l'arrondi pour la découpe des listons à la proue.

 

Puis Emmanuel coupe à la scie sauteuse selon son tracé.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Nous sortons le "tank" pour arraser les listons : en effet, il peut y avoir un très léger décalage entre le haut du carreau et la surface supérieure des deux lattes. De plus, la ponceuse élimine les excédents de colle en surface des listons.

 

Le volume de poussière produite est un témoignage de la quantité de matériau dégagée par le "tank".

 

J'utilise aussi la ponceuse à bande verticalement pour "nettoyer" la surface extérieure, des listons et finir la découpe de la proue.

   

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Je donne aussi un petit arrondi aux extrémités arrière des listons afin d'éliminer toutes les arêtes trop vives.

 

Je passe à la ponceuse orbitale pour poncer la surface de notre chirurgie réparatrice sur le coté de l'étrave.

 

Toujours avec la ponceuse orbitale, nous repassons un coup sur le pourtour du tableau, y compris les tapons et les extrémités arrière des listons.

   

 

   
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Emmanuel utilise la défonceuse avec une fraise à guide en quart de rond pour arrondir l'arête supérieure extérieure des listons.

 

Le roulement à billes du guide de cette fraise explosera durant l'opération, créant une petite balaffre sur le liston bâbord, que nous dissimulerons habilement.

 

Nous retournons de nouveau la coque de la Yole de Chester afin de poncer la deuxième couche d'époxy chargée que nous avons appliquée sur les joints.

    Cliquez sur les photos pour les voir en grand    
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Nous atteignons le stade "loukoum", quand la coque se couvre de poussière d'époxy...

 

Après avoir peiné à couvrir la coque le cette belle poussière blanchâtre, voici venu le temps de l'enlever...

 

Emmanuel aspire patiemment. Notez que le nez du boxeur a retrouvé un aspect hellénique d'avant la crise...

         
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Et Annick termine le dépoussiérage à l'aide d'un chiffon humide. En effet, l'aspirateur laisse une quantité étonnante de poussière collée à la surface.

 

Annick et Emmanuel me demandent de signer avec eux cette oeuvre que nous allons bientôt terminer ensemble...

 

Et voici l'authentification de cette Yole de Chester...

    Cliquez sur les photos pour les voir en grand    
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Et une couche d'époxy sur, et sous, les listons, ainsi que sur les pontages avant et arrière.

 

Non, non, nous ne jouons pas à cache-cache...

 

Nous collons ensuite les toletières, avec quelques émotions car les pinces n'agrippent que partiellement la surface des pièces à coller et du coup, certaines ont décollé assez brutalement, mais personne n'a été blessé.

         
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Nous avons encore retourné la Yole de Chester afin de stratifier les deux bordés de fond.

 

Le tissu de verre n'est saturé d'époxy que sur la surface des deux bordés en fond, avec une remontée jusqu'en haut de l'étrave.

 

Je coupe le tissu de verre sur le joint d'époxy chargée entre les virures 1 et 2.

    Cliquez sur les photos pour les voir en grand    
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Et voila ! Le petit bout de tissu de verre qui dépasse à l'arrière sera coupé lorsque l'époxy aura durci.

 

Vue du tissu de verre sur l'étrave : le tissu est devenu transparent et révèle la "chirurgie réparatrice" que nous avons avons faite sur l'étrave. Nous avons enduit à l'époxy chargée aux endroits qui étaient un peu dépressifs (enfin, en dépression).

 

Annick et Emmanuel passent au rouleau une seconde couche d'époxy sur la partie stratifiée, et sur l'ensemble de la surface de la coque.

         
Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.   Cliquez pour une image plus grande.

Nous collons ensuite les raidisseurs sous les planchers. Ici, il s'agit de la partie centrale du plancher.

 

Les pinces tiennent le raidisseur en place, les bandes d'adhésif tiennent le raidisseur en position orthogonale par rapport au plancher, et nous faisons des joints-congés de part et d'autre.

 

Petit travail de fin de journée : nous installons l'assise des tabourets de nage et réalisons les joints-congés qui font le collage sur l'assise.

    Cliquez sur les photos pour les voir en grand    
Journée précédente Retour au sommaire Journée suivante

Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

Haut de page   Retour   Glossaire
Copyright © Arwen Marine Emmanuel Conrath 2013 www.arwenmarine.com