Arwen Marine
 
 
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Images des activités en cours à l'atelier

12 août 2018

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Je vous avais laissés en plan dans mes dernières "nouvelles" sans vous montrer le Skerry "Plume" terminé.

 

Le voici tout gréé sur sa remorque. Il s'agit d'une remorque CBS, modèle T1M avec l'option "grandes roues " (13 pouces au lieu de 10) et l'option "roue de secours", visible accrochée par une bride sous le timon.

 

Bruno, pour qui je l'ai construit, tenait à avoir le gréement de sloup houari afin d'avoir le maximum de toile car il compte l'utiliser dans des coins parfois peu ventés, et il souhaite avoir un foc afin de fournir une activité à un équipier, qui risquerait autrement de s'ennuyer.

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Bruno m'a aussi demandé de prévoir une bande de ris dans la grand-voile, avec le système de prise de ris rapide sur la bôme, car il veut pouvoir utiliser son Skerry "Plume" au-delà du petit temps. Notez que le mât est autoportant (sans haubanage) afin de simplifier le montage et le démontage.

  Gros plan sur la grand-voile arisée.  

Avant de partir pour deux semaines de vacances familiales en Bretagne, Arwen Marine a subi une attaque de goéland, dont on connait la vue perçante et l'insatiable appétit (parmi ses autres aimables qualités). Grâce à une habile négociation, l'attaque a été repoussée moyennant le paiement d'une rançon acceptable. Et, oui, c'était bien plus classe qu'un pirate informatique ou qu'un contrôeur fiscal (ou RSI).

         
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Nous avons profité des vacances pour faire des photos de Wood Duck. De gauche à droite : deux Wood Duckling, un Wood Duck 10 et un Wood Duck 12. Plus que le 14 et le Double, et j'aurai toute la famille !   Adam (8 ans) nous fait une démo à bord du Wood Duckling.  

Suivant Adam dans le second Wood Duckling, Robin (6 ans et demi) a embarqué Elias (5 ans) à l'avant. On voit que le Wood Duckling supporte aisément leur poids cumulé (35 à 40 kg) bien que la position avancée d'Elias charge un peu trop l'avant.

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Et Juliette (30 ans) nous montre que la limite de charge de 45 kg peut-être légèrement dépassée sans enfoncer plus que mesure le petit kayak de 2.44 m de long.

 

Adam récupère "son" Wood Duckling pour accompagner Perrine et Xavier dans le Wood Duck 12.

 

Non, le chien n'est pas assis sur le Wood Duck, il fait trempette un peu plus loin !

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Une dernière photo du Wood Duckling de l'année avant de rentrer !

 

Pour transporter les deux Wood Duckling et le Wood Duck 12 (le Wood Duck 10 aux poissons reste basé en Bretagne), je me suis fait deux barres transversales en bois qui tiennent sur les barres longitudinales grâce à des étriers en métal. Des bers en "V" sur mesure tiennent bien les kayaks en place. La largeur totale pour les trois kayaks est légèrement inférieure à celle de la voiture avec ses rétroviseurs latéraux.

 

Au retour, j'ai voulu vérifier le poids des kayaks, et j'ai donc pesé le Wood Duck 12. La trappe arrière est à l'intérieur du compartiment.

         
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Le Wood Duck 12 sort à 18.5 kg tout équipé (avec cale-pieds réglables, siège et dosseret), ce qui correspond presque au poids annoncé de 18.1 kg.

 

Au tour des Wood Duckling, que j'ai tous les deux successivement pesés.

 

En effet, j'ai voulu vérifier ce poids de 8.5 kg qui est inférieur aux 10 kg annoncés par CLC (22 livres). Les deux Wood Duckling sont au même poids, et c'est donc une excellente surprise ! Ils sont équipés des mêmes cale-pieds, siège et dosseret que le Wood Duck 12.

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Après ces pesées instructives, je retourne à la construction des deux flotteurs de SailRig pour le Waterlust de Daniel. Ils sont ici déjà collés et je vais extraire les sutures.

 

Je bouche les trous des sutures et les fentes sur les joints entre les panneaux.

 

Je rabote le dessus des serres bauquières sur lesquelles je vais coller les panneaux de pont.

         
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Je dégrossis au rabot à main, puis au surform et je termine à la râpe.

 

Je coule des "massifs d'extrémité" (époxy très légèrement chargée) dans la proue des deux flotteurs, et je renouvellerai l'opération le lendemain pour la poupe.

 

Gros plan de l'intérieur de l'une des proues, avant réglage de l'angle. Il n'y a qu'une cinquantaine de grammes d'époxy et je trouve que que c'est un bon investissement en poids, car c'est la seule façon de s'assurer que les extrémités soient vraiment bien collées (et très costaudes !)

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J'ai fixé les trois éléments de pontage avec de la bande de masquage afin de tracer leur contour, que je découpe ensuite, un peu large.

 

Après cette découpe, je passe au rouleau une seconde et dernière couche d'époxy sur la face intérieure des panneaux de pont et sur toute la surface intérieure des coques.

 

Puis je tartine grassement les serres bauquières d'époxy "crème de marrons".

         
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Même étape vue de la poupe.

 

Puis je pose les panneaux et les presse à l'aide de bande de masquage (je me redis que j'aurais dû acheter des actions 3M car je grille un rouleau de 50 m sur les deux coques).

 

Je termine l'opération en faisant des joints-congés dans les angles entre le pont et le haut des cloisons sur lesquelles seront fixés les bras de liaison.

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Après durcissement de l'époxy, j'enlève la bande de masquage et j'arrondis l'arête du livet.

 

Puis je stratifie les coques.

 

Et voilà.

         
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J'ai coupé l'excédent de tissu de verre au livet, reponcé le livet et repassé une couche générale d'époxy sur toute la surface. Plus qu'à s'occuper des bras de liaison pour les fixer sur le Waterlust de Daniel !

 

Je reviens sur mon retour de vacances (il faut toujours en tirer le maximum) : à chaque extrémité de mes Wood Duck, j'ai remplacé la boucle de garcette par ce cabillot qui permettra un portage plus confortable (au bout d'un moment, la garcette commence à vous scier le métatarse). Le noeud de plein poing fait le job, mais je suis sûr qu'il y a plus élégant et je lance une souscription pour une meilleure idée auprès des noeudelerophilistes présents dans la salle.

 

J'ai commencé à fabriquer le puits et la dérive pour le Doris 17 de mon frère Benoit. La dérive est découpée, mais pas encore profilée ni stratifiée, mais les joues du puits sont déja stratifiées.

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Les parisiens (et les autres, s'ils n'ont pas peur de rouler un peu), ouvrez l'oeil ! En effet, il est question d'organiser une sortie fin septembre à Jablines-Annet.

 

A noter également, la seconde édition de notre nouveau rassemblement ancestral au lac du Der, j'ai nommé "Terre et Der". Navigation originale et envoutante sur le lac à sa marée basse annuelle, au milieu des oiseaux migrateurs. Ce sera les 6 et 7 octobre prochains.

 

Autres dates à réserver impérativement, les 3,4 et 5 mai 2019, pour le Rassemblement Arwen Marine, également sur le lac du Der. Le 1er mai tombe le mercredi d'avant : ceux qui ont beaucoup de route et d'enthousiasme pourront arriver en avance pour faire chauffer l'eau !

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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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