Arwen Marine
 
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Rassemblement avril 2012 au lac d'Orient
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Photos prises par Ronan Coquil à bord de "An Treizh".

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Vue de l'immense cale de mise à l'eau du port du Mesnil-St-Père. Cette cale est si grande que le club local des amateurs de tuning sur Golf étaient venus y temir salon le samedi soir... Au premier plan à gauche, "An Treizh", le bateau de Ronan (de la série des Biraou) est prêt pour la mise à l'eau.

 

Nicolas et Mathieu font les clowns sur "Jouvence".

 

"Chasse-Spleen", le PassageMaker construit par Jean-Claude, croise "Paprika", le Doris 17 d'Olivier avec son gréement de planche à voile. On aperçoit le PocketShip "Zo" au loin.

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"Gandalf", barré par mon frère Benoît (un de mes frères qui ne construit pas de bateaux, enfin pas de manière habituelle). La bôme n'est pas cintrée par la tension du palan d'amure et de hâle-bas, elle a flambé au séchage, et j'ai prévu de la refaire.

 

Le PocketShip "Zo" à gauche et "Thema", le Pirmil de Pierre.

 

Quatre Skerry, dont trois "standard". De gauche à droite, "Gandalf", "Malo", "La Marie Pupuce" et "Piff".

         
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"Malo" et "Piff" sont des kits que Olivier et Jean-David ont construit avec moi en construction accompagnée, et "La Marie Pupuce" a été construite à partir des plans par Gérard, qui a préféré une misaine au tiers à la petite voile à livarde standard.

 

"Gandalf" est un Skerry dont j'ai multiplié toutes les dimensions par 1.2, ce qui donne un volume de 1.73 fois l'original et un poids qui doit être entre 3 et 4 fois celui de l'original, je ne l'ai pas encore mesuré. Il est de plus équipé d'un ballast de 132 litres, qui l'alourdit encore et en fait un bateau très différent de son petit frère (ou plutot de sa petite soeur, car c'est un plan américain).

 

Claude est à bord de "Piff", car il est venu sans son propre Skerry "Babyole". Et il manque encore "Anouket", le Skerry de Ludo, qui ne viendra que le dimanche. "Bahari", le Skerry de Benoît est ailleurs sur le plan d'eau.

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Voici la barre de "Gandalf" que j'ai improvisée en quelques minutes la veille au soir. La barre définitive sera courbe, comme l'indique la découpe de la tête du gouvernail.

 

La faiblesse de la brise nous permet tout juste de glisser doucement sans un bruit...

 

Au premier plan le bout-dehors et le foc "d'An Treizh". Le Biraou n'est normalement gréé qu'en misainier au tiers, mais Ronan est très content d'avoir ajouté ce foc sur bout-dehors : surcroit de puissance, aide aux virement de bord, saine activité pour un équipier, et il limite la tendance à loffer à la gîte du Biraou (qui aime bien gîter du fait de ses bouchains très effacés).

         
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Avec le ballast plein et deux personnes (musclées) à son bord, "Gandalf" est comparativement plus bas sur l'eau que "La Marie Pupuce", à droite, peu chargée par Gérard seul à bord, mais nous sommes à peu près au même niveau que "Piff", sous le bout-dehors "d'An Treizh", avec deux personnes aussi à bord.

 

"Malo" est rattrappée par "Thema", qui a sorti son spi asymétrique et par le Cavelier "Urpekoa", une construction accompagnée de Charles-Edouard début 2011.

 

Dommage qu'il n'y ait pas de soleil pour faire chanter ces jolies couleurs...

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Le second Ronan à la barre "d'An Treizh", poursuivi par "Thema", "Malo", "Zo", "Urpekoa" et "Piff".

 

"Bahari", le Skerry de Benoît, une construction accompagnée de juillet 2011.

 

"Urpekoa" et "Piff". Ce sont bien les couleurs du Pays Basque qui flottent à la corne "d'Urpekoa", car Charles-Edouard est basque de coeur (et de chapeau).

         
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"Gandalf" dispose d'un banc de plus que le Skerry standard, et de sièges latéraux sur toute sa longeur, ce qui fait que l'on trouve toujours un endroit où s'assoir confortablement.

 

"Gandalf", "Bahari" et "La Marie Pupuce".

 

"An Treizh" rattrape "Malo".

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L'expression "bouffeur d'écoute" est prise très au pied de la lettre sur "La Marie Pupuce"...

 

"Urpekoa" lancé à la poursuite de "Chasse-Spleen".

 

"Zo", dont Bruno a complété l'accastillage depuis l'essai fait à Bréhat en mars dernier : il manquait deux ou trois petites choses qui rendent la vie plus facile, notamment un coinceur pour le bout de l'emmagasineur de foc.

         
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"Bahari", "Urpekoa", "La Marie Pupuce" et "Thema".

 

Le PassageMaker "Joli Jeanlin" gréé en misainier au tiers.

 

Un groupe serré constitué de "Thema", de la Laïta "Cotentin", de "Malo" et "d'Urpekoa", puis " Chasse-Spleen" et "Piff".

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"Gandalf" joue à cache-cache dans les arbres : je prends un raccourci par dessus ce qui est normalement une pointe boisée, mais le niveau du lac d'Orient est presque à la cote maximale et une bonne partie de la végétation des berges ne craint plus la sécheresse pour le moment.

 

Mon équipage et moi scrutons les profondeurs, craignant l'attaque d'un reloup, prédateur mutant amphibie dont la gueule remplie de crocs rappelle le requin et le loup...

 

Je dois dire en tout cas que c'est la première fois que je navigue en forêt...

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Ce subterfuge nous permet de passer le Skerry "Bahari" sous le vent. Notez que la voile au tiers demande à être plus étarquée, on voit un pli entre le point d'écoute et le haut du guindant, dont la fixation sur la vergue est trop lâche par rapport au transfilage, ce qui fait que le pli est en fait entre le point d'écoute et le premier oeillet de transfilage : pas bien du tout.

 

Nous venons inspecter le lieu du pique-nique prévu pour le lendemain, qui se trouve totalement submergé : c'est au pied du bouquet d'arbres qui se trouve juste devant l'étrave, à l'arrière-plan. On aura les fesses humides...

 

Mise à l'eau du dimanche matin : La pluie diluvienne vient de laisser place à un soleil encore un peu timide, avec un vent de force 4 avec rafales : idéal pour éprouver un peu le matériel. L'Ilur "Tournepierre", que nous n'avons pas encore vu sur les images de Ronan est prêt à quitter sa remorque.

         
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J'ai pris un ris sur "Gandalf" et j'envoie. "Tournepierre" est à leau.

 

J'adore le ciel sur cette image...

 

Je pars faire un tour sur "Gandalf" avec Arnaud et Sylvie.

         
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"Gandalf", dont la coque est presque totalement cachée dans un creux, et "Cotentin", qui a mélangé le second et le premier ris dans sa voile, ce qui donne un résultat assez moyen.

 

"Malo" démarre avec Olivier et Rémi.

 

Et "Gandalf" trouve des vagues pour tremper son équipage.

         
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"Tournepierre" part sous foc seul et avirons, et on aperçoit "Piff" derrière, avec Jean-David et Benoît.

 

Ma bande de ris sur "Gandalf" fait 2 m2, ce qui me laisse encore 7 m2. Par contre, il n'y a pas de bande de ris dans la voile à livarde standard de "Piff".

 

Gérard accroche le gouvernail de "La Marie Pupuce".

         
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Retour au près bon plein : "Gandalf" profite dans ces conditions de sa longueur de flottaison et de son poids pour marcher vite et sans à-coups.

 

Nous sommes bien groupés près du centre de gravité et le niveau de la flottaison est à peine bas : quand mes vide-vite fonctionneront, je viderai le ballast dès que j'aurai du monde à bord afin d'augmenter le franc-bord. Je vais aussi changer ma drisse et le bout du palan d'amure et de hâle-bas, car la tresse polyester que j'ai utilisée s'étire trop.

 

Au premier plan, c'est l'arrière de "Paprika", puis "Jouvence" avec Nicolas et Mathieu, puis Gérard s'affairant sur "La Marie Pupuce" avec l'aide de Claude. Et on aperçoit un petit bout de pagaie et Zélie dans le Wood Duck 10.

         
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Je reviens avec Sylvie et Arnaud. "Gandalf" est bien à plat : inutile de faire gîter cette carène, on n'y gagne guère.

 

Retour avec Olivier, et c'est "Bahari" qui est masqué par ma voile.

 

"Bahari" : Benoit gagnera à revoir le capelage du haut du guindant sur la vergue, car il est trop lâche et applatit la partie avant de la voile. Le pli en diagonale du point d'écoute sera effacé par un meilleur étarquage du palan unique de guindant et hâle-bas.

         
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"Thema" arrive à donf, tous ses pavillons au vent.

 

"Cotentin" arrive, "La Marie Pupuce" repart.

 

Normalement, les garcette de ris d'une voile à bordure libre ne sont pas nouées autour de la bôme : c'est sans doute ce qui cause les trois plis verticaux, ainsi qu'un manque détarquage sur la bordure, qui est la cause principale.

         
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"Piff" et "La Marie Pupuce" : on voit que Gérard laisse partiellement fasseyer sa voile pour la déventer, alors que Jean-David a le pied au plancher.

 

Ringarde, la voile à livarde ?

 

Martial part à l'aviron sur le Doris 17 "Aldies II" après que son essai sous voile ait tourné court du fait de la rupture de son étambrai.

         
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"Thema" repart à l'aviron (puis à la voile) avec un équipage de 6 personnes.

 

L'étrave et le bout-dehors de "Tournepierre".

 

Gérard et Claude sur "La Marie Pupuce" lancée au petit largue sur la dernière longueur avant la cale.

         
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Gros plan sur la proue de "Jouvence".

 

"Aldies II" croise "Piff".

 

L'arrière de "Cotentin" de "Paprika", "La MArie Ppuce", le Wood Duck 10 et Claude qui regrette l'absence de "Babyole".

         
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Jean-David nous montre la position idéale du barreur de Skerry : assis au fond à toucher le bans milieu, au plus près du centre de gravité et (un peu) abrité du vent et des embruns.

 

"Aldies II" et "Tournepierre"

 

"Thema" et "Piff"

         
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"Gandalf"

 

"Tournepierre"

 

Le choc des cultures... Le téléobjectif écrase la perspective et nous fait croire que Jean-David va bientôt percuter le brise-lames.

         
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Ludo décolle avec le Skerry "Anouket". Ludo a construit "Anouket" sur plans, et a pris quelques libertés avec ceux-ci : plus grande hauteur du carreau, insertion d'une pièce d'étrave et d'étambot, coque alongée de 25 centimètres, etc.

 

Martial a embarqué Rémi dans "Aldies II"

 

Retour de "Tournepierre"

         
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Encore un choc des cultures avec "Anouket" : il n'y a guère que les planches à voile qui sortent par ce vent, ainsi que les fêlés avec leurs jolis petits bateaux.

 

"Tournepierre", "Jouvence" et "Bahari"

 

Charles-Edouard teste le Wood Duck 10.

         
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Lors de notre dernière sortie avec "Gandalf", ce dimanche après-midi, nous sommes partis avec deux ris, mais avons largué le second assez vite afin d'avoir de la puissance, quitte à laisser fasseyer un peu dans les rafales.

 

Charles-Edouard mesure la vitesse du vent.

 

Claude avec Gérard sur "La Marie Pupuce".

         

Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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