Les à-coups subis dans le clapot devant Port Navalo achèvent de briser le mât d'An Treizh qui se casse net à l'étambrai. Il faut dire que ce mât a l'age du bateau et qu'il a donc pas mal travaillé, et de plus, le matin même, An Treizh s'est accroché avec un autre bateau, dont le mât s'était pris dans le transfilage et/ou les pavillons en bout de vergue, et la traction avait été forte avant de pouvoir dégager les deux gréements. Je regardais An Treizh à ce moment et j'ai vu le mât tomber en relative douceur sous le vent, sans casse autre que la sienne... |