10/11/28 |
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Olivier et moi continuons la construction accompagnée de "Paprika", son Doris 17. La semaine dernière, nous avions collé les éléments verticaux de structure intérieure. Nous avons ensuite retourné la coque afin de poncer les premiers collages faits voilà deux semaines. A cause du froid et surtout du manque de lumière, nous nous sommes résignés à poncer à l'intérieur. |
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Mais cette scéance de ponçage nous a rappelé que c'est toujours une mauvaise idée de poncer à l'intérieur, à moins de brancher un bon aspirateur sur la ponceuse. Voyez la constellation de points llumineux que l'on aperçoit en haut à droite de cette image : il s'agit de la lumière d'un halogène de 300 watts qui se reflète sur la poussière qui flotte dans tout l'atelier... |
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Je ne résiste pas au plaisir de montrer cette photo, qui met en évidence l'élégance des lignes du Doris 17 (et me permet de m'éloigner un peu de la source de poussière qu'actionne Olivier !) On aperçoit derrière lui le Wood Duck 10 testé cet été. |
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Après le ponçage, nous avons remis la coque à l'endroit afin de coller tous les éléments horizontaux. Nous avons mobilisé tout ce qui pèse lourd afin de presser les collages. |
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Au premier plan à droite, on aperçoit les deux "bretelles" qui tiennent le dessus du caisson arrière : du fait de sa pente vers l'intérieur et de l'absence "d'oreilles" sur le haut de la cloison arrière, il tend à se sauver si on le retient pas. |
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Voici la guirlande, montée "à sec" avant son collage. |
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Le lendemain, Olivier fait l'inspection du collage. |
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Nous sortons la coque pour un petit ponçage au soleil. |
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Il manque encore les listons, et nous n'avons pas encore fait la stratification sur l'extérieur de la coque. |
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Nous utilisons la chèvre pour retourner le Doris 17, mais en l'absence des listons, pas encore collés, le haut du carreau montre sa souplesse... |
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Encore un "yapluka" : cette fois-ci, c'est un yapluka poncer toute cette époxy... |
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Après le ponçage, nous avons remis la coque au chaud en vue de la stratification (il fait 0° dehors...) et nous passons les listons au rabot. |
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Nous avons coupé le tissu de verre : une seule longueur va du haut de l'étrave au haut du tableau arrière. Entre les deux, seuls la sole et les deux premiers bordés seront stratifiés. |
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Olivier travaille l'époxy à la squeegee afin de saturer le tissu de verre et le plaquer sur le bois. Toute la difficulté est de "tirer" la résine afin que le tissu soit bien saturé mais pas trop !
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Là où le tissu est trop brillant et transparent il y a trop de résine, là où il est gris il n'y en a pas assez, et là où il est blanc il n'y en a pas du tout... |
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Après avoir coupé l'excédent de tissu de verre non saturé (au-delà du joint entre les bordés 1 et 2), Olivier élimine les petites bulles à proximité de la coupe en les tapotant avec un petit pinceau chargé de résine.
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Le lendemain, nous faisons les découpes pour les deux "vides-vite", avec la feuillure qui permet de les encaster dans la sole. |
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Et nous collons enfin de premier pli des listons. En effet, chaque liston est constitué de deux "lattes", que nous collons en deux opérations successives, afin de faciliter leur cintrage. Les listons sont "costauds" car ils ont un rôle important dans la structure d'un bateau aussi léger. |
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Les parties horizontales sont sur deux niveaux : les dessus des caissons avant et arrière sont sur le haut du bordé 3, et le "carré central" est nettement plus bas, à une vingtaine de centimètres au-dessus de la sole. |
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C'est presque toute ma collection de presses qui est de sortie ! Nous avons aussi collé de petits tasseaux sur les joues du puits de dérive. |
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En fin de journée, j'ai tracé, découpé et profilé un nouveau safran pour mon gouvernail, plus profond de 15 centimètres que le précédent, et nettement plus portant dans sa partie basse. Le précédent "fonctionnait" très bien, mais j'ai constaté au cours de mes essais sous voile que le safran avait une contribution importante dans le plan anti-dérive du Doris 17 : le nouveau contribuera encore plus ! |
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Hervé m'envoie les deux images suivantes : voici une image crépusculaire de la tente dans laquelle il va construire sa Yole de Chester en région parisienne. Malheureusement, la cheminée que l'on aperçoit en haut de l'image n'appartient pas à la tente : avec les températures que nous avons actuellement, cela va être laborieux de faire durcir l'époxy... |
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Hervé a déballé ses bordés et d'apprête à coller leurs joints digitaux. Le radiateur soufflant devrait suffire pour faire durcir l'époxy, à condition de construire une mini tente par-dessus les collages, afin d'éviter de chauffer tout le canton !
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J'ai le regret de vous annoncer qu'Arwen Marine ne sera pas au prochain Nautic, car le coût d'un stand y est prohibitif. C'est sans doute la raison principale pour laquelle "l'Espace Tradition" du Nautic n'est plus guère qu'une coquille vide : l'an dernier, nous n'étions que 2 exposants à y montrer des bateaux. Les autres exposants de "l'Espace Tradition" étaient des associations (tarif réduit) ou avaient des activités à marge plus élevée : vente d'accastillage, de croisières, voire d'aquariums ou de mobilier.
Je vous donne donc rendez-vous au Grand Pavois de La Rochelle en septembre 2011, où le Village Bois pratique des tarifs nettement plus raisonnables : 4 à 5 fois moins cher que Paris, avec une réelle volonté de montrer de beaux bateaux. |
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